Gel d'hygiène féminine

Le tractus génital féminin présente une sensibilité unique à la colonisation microbienne en raison de son environnement microécologique complexe. Les facteurs de risque contributifs comprennent la perturbation de la barrière épithéliale des déficits d'hygiène, les fluctuations hormonales pendant les menstruations et l'exposition aux contaminants croisés via des produits sanitaires sous-optimaux. Les traumatismes obstétricaux et l'activité sexuelle peuvent induire le laxisme de la paroi vaginale, divergeant à partir de l'intégrité des tissus prépartum. Des manifestations telles que les flatulences génito-urinaires, la xérostomie et la dysbiose contribuent fréquemment à la morbidité psychosociale, avec des séquelles potentielles de la souche relationnelle et du dysfonctionnement de l'intimité.

Au-delà du vieillissement cutané, la région vulvovaginale démontre la sénescence muqueuse accélérée. L'atrophie de Genitovulvar (GVA) représente un processus physiopathologique critique caractérisé par un amincissement épithélial, une dégradation du collagène et Lactobacillus spp. épuisement. Cette condition prédispose non seulement aux complications obstétricales par une altération de la réserve ovarienne, mais exerce également une morbidité sexuelle significative par une conformité vaginale réduite, une carence lubrique et une dérégulation microbienne. La GVA non traitée peut précipiter la discorde matrimoniale via une diminution de la libido et de la capacité orgasmique, soulignant la nécessité de stratégies d'intervention multidimensionnelles.